Ce que dirait la 4ième de couverture si je l’avais écrite Enfin une histoire originale autour d’un crash d’avion !
22 décembre 1980, un avion se crashe et ne laisse vivante qu’une seule passagère : un bébé de quelques mois, trop petite pour savoir qui sont ses parents, d’où elle vient et comment elle s’appelle. Ce sont alors les adultes qui sont chargés de retrouver son identité, et commence alors une enquête… bipolaire, entre deux familles qui sont persuadées de leur vérité. Mais n’est ce pas seulement le temps qui pourra être gage de vérité absolue ?
Pour qui ?
Pour celles qui depuis qu’elles ont lu Mathilda, recherchent le frisson du mot, un seul et unique mot qui change toute l’histoire…
J’ai eu ce frisson et c’est pour ca que je vous recommande ce livre aujourd’hui.
Le moment idéal pour le lire :
J’ai acheté ce roman … à l’aéroport ! … et je n’ai pas été déçue, j’ai presque eu l’impression que le temps d’attente passait plus vite pour moi que pour les autres passagers.
Et puis je crois que je dois admettre que ce petit côté « histoire vraie » ajoute une pointe de sel.
Le petit extrait qui me trotte encore dans la tête…
« Ce n’est pas la peur de la foule, c’est la peur de ne pas pouvoir être secourue… »
C’est pas moi qui l’ai dit :
« Un roman de "haut vol" dont le dénouement est aussi époustouflant qu'inattaquable sur le plan de la vraisemblance. »
(L’express)